Gère honnis mots ! Viens, essuie les flèches !
Le comment et pourquoi des personnes se délectent de mots
coupant, allant jusqu’à tenter de détruire les petits talents que nous sommes, n’est
pas ou difficilement supportable. S’ils savent eux d’où vient leur mal-être,
alors reproduire sur des blogueurs le même schéma devient coupable.
Ces personnes associent leur tristesse ou leur malheur à ce
qu’il est convenu d’appeler le déni de leurs propres échecs. Il faut fuir bien
sûr leurs antres maléfiques, prenant les clics à notre cou et les claques de
leurs mauvais coups sous le bras, mais ces êtres en souffrance s’écoulent
lentement comme une flaque d’essence vers
des espaces de liberté où ils incendient injustement des Bubble –Blogueurs
tranquilles dans leur petit coin …
Bon, c’est vrai, c’est aussi ça le Net, d’un côté une
majorité de gentils pas chiant, de l’autre une minorité de méchants emmerdant…Pfffffffff…
En écrivant cette dernière phrase je justifie hélas l’existence
de ces volcans de colère qui viennent se frotter à leurs innocentes victimes comme
un grattoir à la pointe d’une allumette pour les flammer… Mais quand même… Doit
on installer dans la blogosphère des filtres anti haine tout le temps et à tous
les bouts de champs que nous cultivons pour y faire pousser ce que nous aimons ?
Il y a des jours, franchement, je voudrais être une créature lampineuse !
Une toute petite aux couleurs de l’argent
Jolie, ronde, aux reflets polis patiemment
Avec une étole de verres scintillants…
Comme autant d’étoiles…
Un très gentil pour y vivre dedans,
Un génie qui ne demanderait qu’à sortir
A la simple caresse ou frôlement d’un soupir...
Doux comme est un rêve dans les étoiles…
Moi le génie, la Terre je la pacifierais
Je lui donnerais toutes les gloires
Les plus belles que rêvent nos mémoires...
Comme en un champ d’honneur au chant des étoiles…
Effilée, tissée d’éclats de diamants
Pour fendre les flots des tempêtes
Qui menacent de tout détruire en hurlant…
Comme les loups aux nuits sans aucune étoile…
Posée, à peine cachée sur une table d’écrivant
Attendant qu’il la caresse vaguement,
Quand il ne mesure plus le temps…
Comme s’il rêvait la tête dans les étoiles…
Et lui murmurerais à l’oreille :
Laisse les tranquille,
Soigne tes excès de bile
Jamais tu n’auras le vrai pouvoir de détruire
Change ta plume, dessine leur un sourire…
Moi je me charge du reste
T’inquiète, je vais faire du beau
Mes doigts seront pleins de peinture
Couverts de Terre et de Nature
Comme les tiens sont pleins de sang,
Quand épuisé et content,
Tu t’allonges au pied de la toile...
Je regarderais ton commentaire pendant ton sommeil
Le caresserais amoureusement
Lui soufflerais un air divin, vivant
Pour lui donner la clarté des étoiles...
La clarté des…
La clarté des…
La Clar….T’aider… à nous aimer...
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