Ecrits et chuchotements du coeur...

Que savons nous de nos inspirations ?
Les connaissons nous toutes ?
Pouvons nous les énumérer chacune ?
Je crois que c'est impossible, il y en a tellement...
L'écriture vraie me semble si proche de la pensée...
Me semble si proche du coeur...

Vous avez été nombreux à répondre à mon précédent billet…
Chacun a posé délicatement une jolie pensée très inspirée…
Chacun a dévoilé une part de son âme de poète éclairé…
Une part de son imaginaire, qu’il est venu partager…
Aucun d’entre vous n’a osé décocher une flèche dans la cible cœur.
Pour ne pas l’abîmer…

Mais vos messages ont touché  bien plus loin que mes mots…
Si vous voulez savoir où exactement cliquez sur le cœur de mercis…
(Idée que je dois au cœur BIZ’ART  de Zébu)

Comments

[Serge]

C'est trop mignon...;)
Je m'en veux un peu...Je n'y avais pas pensé...
Bises ;)

[Lubna]

j'ose..si ce n'est à quatre mains , et à quatre pieds, ce serait en quatre ailes ?...:o)

[Lubna]

bouche bée :o)

[Serge]

à quatre mains c'est déjà utilisé ;-)
Avec les pieds alors? Ils sont connectés à la Terre...
On les choisit nus ou encore avec des Nike?
Allez, on tente... ;o)

Quand les mots sont partis de l'âme à un espoir,
Quand ils ont signé leur message sur l’écritoire,
Que coupables ils s’opposent
Qu'innocents ils s'apposent,
Qu'indolents ils s'imposent,
Que dormant ils se reposent
Qu'ils apaisent vos fureurs en un long dévidoir,
Qu’ils calment la douleur de vos désespoirs
Que de votre battant ils exultent
Que de votre cœur en tumulte,
Tels des enfants privés sous le joug d'une sanction
Ils reconnaissent en leurs sens une émotion
En une moue d'affliction sur rigide punition.
Ils caressent en lignes leurs fragiles passions…

Ancrez les , en vos pages
Encrez toutes vos rages
Mimez les, en images
Illustrez les adages…

Expirez vers intimes
Inspirez le sublime
Goûtez les sens infimes
Laissez vous aimer en rimes…

Pardon chère poètesse! N'y voyez pas un crime...

[lubna]

Quand les mots sont partis de l'âme à un espoir,
Qu'innocents ils s'apposent,
Qu'indolents ils s'imposent,
Qu'ils apaisent vos fureurs en un long dévidoir,
Que de votre battant ils exultent
Tels des enfants privés sous le joug d'une sanction
En une moue d'affliction sur rigide punition.
Ancrez les , en vos pages
Mimez les, en images
Expirez vers intimes
Goûtez les sens infimes.

Sur destriers ailés, en princes des nuées,
Vous fuirez rieurs, le chemin des abîmes
Lesquelles pernicieuses , tenteront l'à côté,
En chutes hasardeuses, face aux beautés des cimes.

Et des ces maux à maux, , de ces bouts tabous, ces essais au beau, sans laisser de pied-bot à Nike , just do it :o))